Pour nos plus récentes vacances en famille, à la fin mars, l’Amoureuse et moi, de même que nos deux enfants de cinq et deux ans, avons une fois de plus pris la direction du Mexique pour profiter du soleil.
Depuis déjà plusieurs années, le Mexique demeure notre destination de choix lorsque nous optons pour des vacances en formule tout inclus. Cette fois, notre choix s’est arrêté sur le Family Club Grand Riviera Princess, situé à proximité de Playa del Carmen.
Je vous fait le récit de notre séjour dans cet hôtel très bien adapté à la réalité des jeunes famille comme la nôtre.
Alors que l’été tirait à sa fin, nous jonglions avec l’idée de partir en famille pour une petite semaine de vacances au soleil en formule tout inclus. Pour nous reposer du quotidien, surtout, et pour offrir aux enfants ce qu’ils aiment le plus: se baigner et jouer dans le sable. Bien que ce ne soit pas le temps idéal de l’année (saison des pluies et des ouragans), nous avons choisi de nous envoler pour le Mexique et, pendant quelques semaines, j’ai surveillé les prix, ne sachant pas trop quel hôtel choisir.
Après avoir trouvé un super prix, c’est un peu comme un coup de dé et sans grandes attentes que nous avons réservé un séjour d’une semaine au Paradisus Playa del Carmen Riviera Maya, situé à 55 km de l’aéroport de Cancun, à la mi-septembre. Nous avons toutefois été rapidement conquis par cet hôtel cinq étoiles (une première pour nous) qui nous a épatés par son service et l’expérience qu’il nous a offerte.
Après avoir fait plusieurs séjours de quelques nuits avec les enfants dans un rayon de trois heures de route de la maison, l’heure de leur baptême de l’air a finalement sonné. Pour leur première expérience, nous avons choisi une destination qui ne nécessitait pas un trop long vol. L’Amoureuse, ma fille de quatre ans, mon fils d’un an et moi nous sommes donc envolés vers le Mexique, à la mi-mars, pour un séjour d’une semaine.
Des rues aux mille couleurs, une atmosphère décontractée, des artisans, des dizaines de planches de surf. C’est ça Sayulita, petit village en bordure du Pacifique dans l’État de Nayarit, au Mexique.
L’Amoureuse et moi avons profité de notre séjour au Iberostar Playa Mita pour aller visiter cette petite merveille qui n’était qu’à une quinzaine de minutes de voiture de notre hôtel. Quelques heures à peine suffisent pour s’imprégner de l’atmosphère à mille lieues du complexe tout compris. Les touristes sont certes au rendez-vous, mais la culture mexicaine l’est tout autant.
Le Mexique est une destination soleil populaire auprès des Québécois, mais c’est surtout la Riviera Maya, au sud de Cancún, qui attire habituellement les touristes en quête de chaleur et de soleil. Moi-même, je me suis rendu deux fois dans cette région que j’ai bien aimée. Cette année, l’Amoureuse et moi avons plutôt opté pour la côte Pacifique pour nos vacances; un endroit que nous n’avions jamais visité ni l’un ni l’autre.
Alors que 2015 sera chose du passé dans quelques heures, le temps est venu de faire un petit bilan de l’année qui se termine. En y repensant, 2015 a été assez riche en matière de voyages et de découvertes.
C’est l’un des endroits les plus visités au Mexique et c’est parfaitement comprenable.
Les ruines de la cité maya de Tulum ont de quoi attirer les touristes de deux catégories différentes: les assoiffés d’histoire et les amateurs de plage. La combinaison parfaite pour attirer chaque jour des milliers de visiteurs.
Ceux qui me connaissent bien savent que j’adore le Cirque du Soleil. Depuis 12 ans, j’ai vu plus d’une vingtaine de représentations de leurs spectacles à Montréal, Ottawa, Las Vegas…
Je ne pouvais donc pas venir en vacances à Riviera Maya sans aller voir leur toute nouvelle production, JOYÀ (« joyau » en espagnol), qui a pris son envol en novembre dernier.
Je n’avais jamais encore blogué sur l’un de mes voyages en formule tout inclus et il semble qu’il fallait que je sois au Mexique pour commencer.
L’Amoureuse et moi sommes arrivés en fin d’après-midi, vendredi à Cancún. Trente minutes d’autobus et nous voilà à notre hôtel, le Iberostar Paraiso Beach. On a passé environ 45 minutes au comptoir d’enregistrement. Le gars faisait téléphone par-dessus téléphone. On a finalement eu l’heure juste: l’hôtel était à pleine capacité.
Note: Mon amour du voyage ne date pas de la naissance de ce blogue. Avant la création d’Hugo autour du monde, je prenais plaisir à envoyer chaque soir un courriel à mes amis et ma famille lorsque je voyageais pour leur raconter ce que je vivais, ce que je ressentais. Voici donc le récit que j’avais envoyé à mes proches le 18 novembre 2009 alors que j’en étais à mon premier voyage en solo, au Mexique, pour visiter une amie que je n’avais pas vue depuis longtemps.
C’est au bord de la piscine, avec le bruit des vagues et le ciel étoilé, que je vous envoie ce dernier message en provenance du Mexique. La dernière journée n’aura pas été de tout repos, loin de là. Elle a d’ailleurs très mal commencé.
Ce matin, je me suis présenté devant l’hôtel à 7h10, pour le départ de mon excursion à 7h35. Le temps a finalement passé: 7h45, 8h, 8h15… et l’autobus n’est jamais arrivé. Je me suis mis à faire des téléphones pour tenter de comprendre ce qui se passait, pour savoir si on m’avait oublié. La fille, qui n’avait pas trop l’air de comprendre, m’a finalement dit d’oublier ça et de rencontrer le représentant du grossiste en après-midi. J’ai quand même décidé de rester un peu dans le lobby, décontenancé de voir les plans de ma dernière journée bousillés par une compagnie pas fiable. Grande surprise, l’autobus est finalement arrivé à 8h50. J’ai visiblement été mal informé sur l’heure de départ parce que la prise en charge était bel et bien prévue à 8h45.
Devant la pyramide de Nohoch Mull, à Coba
Cela étant dit, j’ai quand même eu une très belle journée qui s’est amorcée à Coba, une ancienne cité maya située en plein coeur de la jungle. C’est à cet endroit que j’ai fait l’ascension de la pyramide de Nohoch Mull, la plus haute de l’État du Yucatan. Une fois en haut, on a droit à une merveilleuse vue panoramique sur les alentours. La pyramide se monte plutôt bien malgré la chaleur intense et le vent presque inexistant, mais c’est une toute autre histoire quand vient le temps de descendre! La pente est plutôt abrupte et il faut absolument éviter de regarder en bas. Les marches inégales et souvent très usées viennent compliquer l’exercice.
Mon excursion s’est ensuite transportée à Pacchen, un petit village maya situé au fin fond de nulle part. Au menu, plusieurs activités à sensations fortes: accro-branches, descente en rappel au fond d’une cénote et canot. Comme je vous l’avais déjà mentionné, les cénotes sont des lieux sacrés pour les Mayas. On a donc dû être purifiés par le prêtre du village, lors d’une brève cérémonie, avant d’entreprendre notre descente.
C’est donc sur ces mots que je termine mon voyage. Ce périple m’aura permis de repousser mes limites à plusieurs égards, notamment parce que c’était la première fois que je partais seul à l’aventure. J’en ressors donc grandi.