Dix-sept jours après avoir quitté Montréal, voici le temps de faire un petit compte rendu de cette lune de miel qui tire déjà à sa fin.
De Sanur à Kuta en passant par Nusa Lembongan, Ubud, Amed, Gili Meno et Gili Trawangan, nous en avons vu du pays.
Dix-sept jours après avoir quitté Montréal, voici le temps de faire un petit compte rendu de cette lune de miel qui tire déjà à sa fin.
De Sanur à Kuta en passant par Nusa Lembongan, Ubud, Amed, Gili Meno et Gili Trawangan, nous en avons vu du pays.
La dernière journée du voyage aura finalement été la plus difficile. L’Amoureuse a attrapé quelque chose qui l’a rendue malade la nuit passée et qui la rend un peu faible depuis ce temps-là. Elle n’a pratiquement pas mangé depuis hier soir.
Pour ma part, j’ai trouvé particulièrement pénible le voyage de retour de Gili Meno vers Padangbai. Si la traversée s’est faite plutôt en douceur pour s’y rendre, ça a été « rock’n roll » pour revenir. Non seulement le trajet a été plus long que prévu, mais la mer fortement agitée m’a fait remplir un petit sac de plastique noir qu’un employé avait pris la peine de distribuer. Comme il venait de faire le chemin inverse, il savait ce qui s’en venait. Et je peux vous dire que je n’ai pas été le seul à en arracher.
Amed a la mine basse ces jours-ci. Le taux d’occupation des hôtels est extrêmement bas, les restaurants sont vides, les commerçants courent après les clients… Je vous en parlais un peu, la ville subit les conséquences de l’éruption possiblement prochaine du volcan Agung, à quelques kilomètres d’ici… et de la « mauvaise publicité » faite par certaines personnes d’autres régions de Bali qui laissent entendre qu’Amed est fermée en raison du risque.
Je vous parlais il y a quelques jours des temples que nous avions visités à Bali. Nous avons complété notre tournée, vendredi, en nous rendant au Tirta Empul, lieu d’une source sacrée où vont se baigner les Balinais pour se purifier.
Une forêt dense abritant 600 singes de cinq groupes différents au beau milieu d’une ville. Oui, c’est possible et c’est à Ubud que ça se passe.
Le Sanctuaire sacré de la forêt des singes est indéniablement l’une des attractions les plus courues de la ville. Et avec raison. Il y a quelque chose de fascinant à entrer dans ce lieu et de côtoyer ces animaux dans leur habitat naturel, sans cages et sans barrières entre nous et eux. L’expérience est authentique.
1h40, mercredi, le réveil-matin retenti dans notre chambre d’hôtel. Pas facile, c’est seulement la deuxième nuit depuis le début du voyage que je dors bien. On se lève, s’habille et avale rapidement quelques chocolatines achetées la veille dans un dépanneur. Pas le choix, notre transport nous attend dans 20 minutes.
Continuer à lire Ascension du mont Batur: aux premières loges pour un lever de soleil époustouflant
Pour la journée d’hier, l’Amoureuse et moi avons requis les services d’un chauffeur privé. Ça peut paraître comme un service de luxe, mais c’est chose courante en Asie, c’est très abordable, et ça permet non seulement de construire soi-même son itinéraire et de rentabiliser sa journée tout en évitant de louer une voiture et d’avoir à conduire dans un pays qu’on ne connaît pas. Et croyez-moi, vous ne voulez pas conduire ici!
Continuer à lire Majestueuses rizières en terrasses de Jatiluwih
Après Sanur et Nusa Lembongan, nous voici rendus à la troisième étape de notre lune de miel en Indonésie: Ubud.
Encore une fois, changement draconien de décor. On se retrouve cette fois dans un hôtel entouré de rizières si bien que j’écris ce billet au son des milliers d’insectes qui jacassent dans la nuit.
Continuer à lire Lune de miel étape 3 : au cœur des rizières d’Ubud
Changement de décor, aujourd’hui. Après avoir passé les trois premiers jours de notre séjour dans une villa de Sanur, voilà qu’on a déménagé nos sacs à dos dans une hutte à Nusa Lembongan, une petite île au large de Bali.
Continuer à lire Lune de miel étape 2: cap sur Nusa Lembongan
Se détendre et se la jouer relaxe. Voilà qui semble la seule chose à faire quand la température ressentie est de 44 degrés Celcius, que l’humidité est pesante et qu’on sue d’endroits où ne pensait même pas pouvoir suer. Depuis hier, on alterne entre notre piscine, les chaises longues et les « bean bags » qui se trouvent à l’ombre, sous une espèce de chapiteau de bois. Autant le but de louer une villa à Sanur était de relaxer, autant c’est ce que la température nous commande de faire.